De Kharkiv en Palestine, de France en Suisse puis en Israël, Chana Orloff a subi les tourments de son époque.
Née en Ukraine en 1888, morte à Tel Aviv en 1968, l’artiste a survécu aux pogroms, à l’occupation allemande et la dispersion de ses œuvres pour, à chaque fois, renaître et imposer sa touche personnelle avec un style inimitable.
Elle marqua son époque et sa naturalisation française en 1926 ainsi que sa Légion d’honneur sont le symbole d’une sculptrice majeure de l’École de Paris (https://fr.wikipedia.org/wiki/École_de_Paris).
Le Musée Zadkine était l’endroit idéal pour exposer les magnifiques portraits d’Orloff. Pour suivre, on peut également se rendre dans son atelier dans le 14e (https://chana-orloff.org) au Musée Sainte Croix de poitiers et à La Piscine de Roubaix.